1972 – 1974 : les remises en question chez les E.E.D.F.
Le nouveau Mouvement né en 1964 n’a pas fait l’économie de la «crise de société» qui a caractérisé les années qui ont précédé ou suivi 1968. Années de remises en cause, pas uniquement par la jeunesse mais peut-être surtout par elle, des principales caractéristiques d’une société qui n’avait pas su prendre la dimension de sa propre évolution.
1935.11 : la préparation du 25ème anniversaire
.. vue à travers une lecture approfondie de la revue «Le Chef, revue mensuelle de scoutisme et d’éducation générale”
1935.11 : la préparation du 25ème anniversaire
.. vue à travers une lecture approfondie de la revue «Le Chef, revue mensuelle de scoutisme et d’éducation générale”
1972.05 : un nouveau Président et un appel à “Cascade”
… pour la préparation d’une véritable “consultation” de l’ensemble du Mouvement et d'”Assises” appelées à le redéfinir démocratiquement
1946.03 : Première A.G. après la guerre

Le lien avec l’éducation nationale est clairement réaffirmé par le président des E.D.F. et le Ministre concerné
1946.11 : Le mal d’argent…

Une nouveauté.. éternelle ! mais aussi quelques remous du côté du pouvoir…
1972.06 : les activités de la région Centre
… particulièrement concernée par les “événements” qui marquent l’association !
2011 : Le fils et neveu des jeunes filles hébergées à Vichy nous parle…

Nous avons repris ci-après le texte du discours qu’Alain Jacob, fils d’Annette Dennery, a prononcé à l’occasion de la remise de la Médaille des Justes aux familles Duphil et François, ainsi que le message adressé par Maurice Déjean
1944.09 : Le redémarrage à la Libération

Le “bulletin d’information aux Commissaires de province” de septembre 1944, retrouvé par Guy Wilmes dans les archives du groupe de Troyes, donne une excellente idée des conditions du redémarrage du mouvement à la rentrée scolaire de 1944.
2011 : À l’occasion de la remise de la “médaille des Justes” des familles de responsables nationaux à Vichy

Routes Nouvelles évoque cet épisode de notre histoire et pose une question d’actualité : “Et maintenant, réfléchissons ensemble : sommes-nous sûrs que ce type de situation soit définitivement sorti de l’Histoire ?