Rechercher

1915 : Un autre « journal scout » à Troyes pendant la guerre

 

La troupe de Troyes a édité, à partir de 1915, un journal d’abord dénommé « Le Scout Troyen » puis « Le Scout » (après qu’il ait été mis à la disposition de l’échelon national) ; sa lecture est passionnante car elle donne une excellente idée des valeurs et activités de cette période.

1911 : Les débuts du scoutisme à Troyes

 Dès l’origine, le scoutisme est né d’initiatives locales, portées par des individus intéressés – et souvent passionnés – par sa nouveauté et ses potentialités. C’est le cas à Troyes, où une « troupe », adhérant aux Éclaireurs Français, est créée dès 1911 – sûrement une des toutes premières en province.

1911 : Le rôle de Nicolas Benoît

 Retour aux sources : grâce à Guy Wilmes et à Claudette Wilmes-Lefèvre, nous présentons quelques pages du « plan d’organisation des troupes d’Éclaireurs de France » édité en 1911 par Nicolas Benoît, et quelques documents liés.

1911 : Toujours à propos de Nicolas Benoît

 Nicolas Benoît, à l’origine de la création des Éclaireurs de France en décembre 1911, est une grande figure de notre Mouvement. Disparu au combat dès le début de la « Grande guerre », il a laissé, à titre de « testament », un ouvrage de réflexion sur « La voie du chevalier », écrit sous le nom de Victor Morgan. Quelques documents évoquent sa mémoire.

1911 : Deux « fédérations » non confessionnelles

 Après les premières expériences, est venu le temps de la réflexion pour la création d’une « structure » permettant de faire vivre ensemble tous ceux qui souhaitaient s’intéresser à cette nouvelle approche éducative, quels que soient leurs secteurs d’activité ou leurs objectifs. C’est ainsi qu’un certain nombre d’éducateurs, théoriciens ou praticiens, ont à réfléchir à ce que pourrait être un scoutisme adapté à notre pays.

Le problème n’est pas simple, apparemment pour deux raisons :

– d’une part, la différence d’approche – et de personnalité – entre les deux « promoteurs » initiaux de l’idée, Pierre de Coubertin et Nicolas Benoît,

– d’autre part, l’opposition de la religion majoritaire à cette innovation, qu’elle considère comme une agression.