Une introduction plutôt optimisme prend acte du succès de la nouvelle branche « en abandonnant peu à peu quelques détails qui, à l’usage, se révélaient inadaptés aux petits garçons français ». Mais assez rapidement sont évoquées « les pistes brouillées » : le développement de la branche est insuffisant, les principes n’en sont pas toujours bien compris, un gros travail reste à faire « en quête de traces nouvelles ».
Une place particulière est accordée aux Louvetières, « une minorité parmi les Chefs, et un tout petit nombre dans la masse de notre effectif » même si « C’est très compréhensible, puisqu’elles sont les seules femmes admises à faire partie de notre Fédération » mais « Être l’expression d’un mouvement essentiellement viril, et garder sa féminité, volilà un grand problème »… Avec, au passage, une petite allusion aux dérives qui risquent d’intervenir dans les relations car… « c’est une entreprise vraiment hardie que la nôtre »…
À noter que le même article utilise d’ailleurs, pour la première fois, le terme de « cheftaine ».