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1957-1962 : L’Algérie

La vie du Mouvement n’est pas toujours « un long fleuve tranquille » et l’échelon national – Comité Directeur et Commissaire général – ont à assumer la gestion de crises qu’ils n’ont, en général, pas créées.

 

1950 : Le scoutisme d’extension

 Sous l’impulsion d’Érable Lévy-Danon, assistée de Pierre Morand et d’une équipe nationale motivée, la «branche» Extension s’est fixé pour objectif d’adapter le scoutisme E.D.F. aux handicapés de toutes natures (sensoriels, physiques, mentaux) sans les couper du reste du Mouvement, en définissant et en pratiquant – « comme les autres » – une méthode tenant compte de la réalité des situations.

 

1948 : La branche aînée : le passage à l’acte

La branche aînée a été définie par le Fondateur comme un prolongement, vers les adolescents et post-adolescents, des méthodes et techniques de la branche Éclaireurs. Si l’on en juge d’après l’évolution et les problèmes rencontrés en cours de… Route, cette définition s’est avérée assez rapidement insuffisante et a donné lieu à des recherches, des expériences, des conflits, mais aussi à des réalisations spectaculaires : le dynamisme, la motivation, la disponibilité (et, quelquefois aussi, la prise de risques) ont permis des « exploits » donc certains sont restés dans les mémoires.

1950 – 1953 : Turbulences à l’international

Les réflexions menées dans le cadre du Mouvement, et les décisions d’orientation qui les ont prolongées, ont provoqué quelques « turbulences », aussi bien en interne, auprès de certains membres du Mouvement qui s’en sont trouvés surpris – et sont allés jusqu’à la création d’une association dissidente – que dans ses relations avec les organismes internationaux peu préparés à de telles évolutions.

1945 et la suite : Les principes fondateurs des Éclaireurs de France

Il nous a semblé utile, pour situer l’évolution du mouvement, de reprendre, au cours des pages suivantes, l’essentiel des « principes » du Mouvement dans l’immédiate après-guerre. Ces documents sont extraits de la plaquette éditée à la mémoire de Jean Estève, devenu Commissaire national branche Éclaireur à son retour de déportation. Nous commençons, bien évidemment, par la Loi et la Promesse mais aussi par l’article premier des Statuts,« réécrit » après la Libération, et qui rend compte, à la fois, de l’appartenance au Scoutisme et d’une actualisation de ses objectifs – libérer l’homme de tout asservissement.

1945 – 1948 : Réflexlon, évolution… et problèmes

 Nous avons sélectionné quelques documents qui nous semblent résumer, à la fois, une illustration des difficultés rencontrées par les E.D.F. dans leurs relations avec certains milieux dits « de gauche » et les réflexions qui ont caractérisé cette époque : articles de Jean Estève et Eugène Bourdet, responsables nationaux de la branche Éclaireurs et leurs résultats.

Après la guerre…

Les trente premières années ont vu le démarrage puis l’implantation du scoutisme en tant qu’innovation pédagogique – souvent contestée, justement, pour son caractère innovant – et un certain nombre de « prolongements » qui, sans en respecter toujours l’esprit, en copiaient la forme. C’est ainsi que certains mouvements de jeunesse des pays non démocratiques ont pu quelquefois faire illusion.