1931.10 : L’éditorial du Chef revient sur… la neutralité

« Il me semble que, si la question de la neutralité a toujours été à l’ordre du jour de notre Fédération, elle l’est plus particulièrement depuis que notre recrutement s’étend dans les milieux laïques » …
1931.08 : « Le Chef » aborde « le problème colonial » … et « la solution libératrice française »

L’éditorial présente un ouvrage écrit par un membre du Comité Directeur, Pierre Lyautey, pour apporter « la réponse péremptoire à cette grave question, parfois encore controversée, de la légitimité de la colonisation ».
1931.06 : Le soixante millième E.D.F.

En décembre 1930, Le Chef se félicitait de constater une augmentation de plus de 90 % des effectifs de la Fédération en moins de 18 mois, de 4400 à 8500.
1931.05 : « Le Chef » revient sur la nécessité de « l’esprit fédéral »

« La Fédération n’est pas une abstraction vaine »…
1931.02 : « Le Chef » traite de l’éducation « morale »

À partir d’un rappel, celui des instructions de 1887, sur l’éducation morale à l’école primaire, « ainsi naîtra ou s’affermira dans les esprits cette idée que les principes des Éclaireurs de France sont ceux-là même de l’École Laïque ».
1930.12 : Après le congrès de Tours, la situation actuelle des E.D.F.

et quelques éléments concernant les autres Mouvements français…
1930.10 : « Le Chef » propose une « palabre du soir sur la pureté »

Sujet difficile à aborder, mais il faut choisir » ..
1930.05 : « Le Chef » revient sur l’importance de « la palabre »

Meilleur moyen de communiquer avec les garçons…
1930.02 : « Le Chef » s’intéresse à la natalité

Le sujet est abordé par un congrès dont Le Chef rend compte assez complètement : pour répondre à la situation dramatique créée par « l’immoralité voulue qui s’exerce sur le spectacle et sur le livre » ou par les maladies infectieuses, quelques réformes s’imposent et, en particulier, « combattre le préjugé des deux morales : une morale singulièrement indulgente […]
1930.02 : « Le Chef » plaide contre « l’ostréification »

Moins de vingt ans après la création de notre scoutisme, le « métier de chef » a un risque de « ostréification », c’est-à-dire de routine qui prend le relais de la « grande flamme » initiale car « autrefois, de mon temps, le monde ne marchait pas ainsi »…