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1968 : un camp-école du CAMEL au Togo

 Dominique François, ancien Commissaire International des EEDF, nous raconte un camp-école organisé en 1968 par le CAMEL (Collège Africain et Malgache des Éclaireurs Laïques). Excellent exemple de coopération, permettant, à la fois, une réalisation utile, et l’approche en commun  de problèmes « de société ».

1994 : Laïcité et pluralisme : la situation actuelle

Le scoutisme laïque, tel qu’il a été défini, à l’origine, par les Éclaireurs Français et les Éclaireurs de France, ne se limite pas à notre pays. Même si le terme « laïque » n’est pas d’usage courant ailleurs et est souvent remplacé par « pluraliste  » ou « non confessionnel », sa proposition d’ouverture à tous, sans distinction d’origine ou de croyance, a été adoptée par un certain nombre de Mouvements scouts dans le monde.

1973 : les remises en question dans le scoutisme catholique

Partageant apparemment les mêmes préoccupations et les mêmes interrogations que les E.E.D.F., les deux associations de scoutisme catholique membres du Scoutisme Français, Scouts de France et Guides de France, ont organisé à La Trivalle, sous le plateau du Larzac, une grande rencontre de responsables, jeunes et moins jeunes, disposant tous d’une expérience «de terrain» et acceptant, à la fois, de la partager et de réfléchir en commun aux problèmes rencontrés.

1968 : une période de crise nationale

 Les «événements» de 1968 ont concerné tous les Mouvements de Jeunesse et, plus particulièrement, ceux qui participaient au «Haut Comité à la Jeunesse», créé par les instances gouvernementales avec, en principe, un rôle consultatif. Dans un contexte mettant en évidence les évidentes difficultés relationnelles entre la Jeunesse et le Gouvernement, Jean Estève, Commissaire Général, a participé aux prises de position qui ont été celles du Mouvement dans ce cadre.

 

1968 : le parcours de Mireille Roux, éclaireuse à la FFE N puis Commissaire Nationale branche verte

 Tout au long des décennies, notre Mouvement, et les associations qui l’ont composé, ont connu un certain nombre d’évolutions, qui ont concerné aussi bien sa structure (par la création du « nouveau Mouvement » en 1964) que ses méthodes d’animation. De ce point de vue, le parcours de Mireille Roux, entrée à la F.F.E. N en 1941, nous a paru significatif puisque, après avoir connu cette association, elle a vécu les débuts de la coéducation aux E.D.F. puis accompagné l’évolution de la branche, au plan national, de 1953 à 1968.

 

1966 : Jean Estève : les E.E.D.F. ont-ils un avenir ?

Après cinq années d’exercice de son mandat de Commissaire Général, au premier trimestre de 1966, Jean Estève se posait une question cruciale … et y répondait à travers trois articles des Cahiers du responsable, dont nous proposons ci-après un résumé.

1964 : la concrétisation de la coéducation des filles et des garçons

Les contacts pris par Pierre François, au nom des Éclaireurs de France, avec la section neutre de la Fédération Française des Éclaireuses au début des années 50 pour créer un Mouvement commun aux filles et aux garçons dans l’esprit de ce qui a été appelé « la coéducation », avaient échoué. Toujours est-il que le temps est venu, une dizaine d’années plus tard, d’une nouvelle étape.